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04/06/2013

violence, brutalité, quelle différence ?

Question de vocabulaire.  Quelle différence y a-t-il entre la violence et la brutalité ?

Un homme, un geste violent ou un homme, un geste brutal. Est-ce pareil ? L'un est-il plus fort que l'autre ?

Je pose la question car ma fille a eu une attitude dont elle m'a dit : "C'est peut-être brutal, mais ce n'est pas violent." Robert, Wikipédia, vous ne m'aidez pas beaucoup. Je continue à chercher ...

15/05/2013

Vers une nouvelle procédure ?

L'avocate de ma fille a reçu une lettre d'une consœur, lui annonçant que XY l'a consultée. L'homme n'avait donc pas bluffé cette fois. Elle déclare qu'étant donné la reconnaissance de paternité, il y aurait lieu dorénavant d'établir des contacts normaux entre XY et Bébichon. Elle affirme par ailleurs que XY ne s'oppose pas à une relation entre ma fille et le petit xy (le fils qu'il a eu avec une précédente compagne). Il ne s'oppose pas non plus à ce que cette relation soit officialisée. La fin de la lettre parle du dossier que cette avocate va demander au conseil précédent de XY.

Au vu du dossier, elle verra que les choses ne sont pas si simple. En plus, elle saura que XY n'a pas payé son précédent avocat. À moins que depuis ce soit chose faite. Espérons que non.

Ma fille pense que de mettre en avant la relation qu'elle pourrait avoir avec le petit xy est une manipulation de la part XY, pour montrer un visage conciliant et pour attendrir ma fille. Quant à l'avocate, elle verra dans le dossier qu'il n'a pas réagi à la demande que ma fille avait faite dans ce sens. Ma fille a décidé dorénavant de ne plus essayer de "sauver" cet enfant. Une amie lui a dit de fermer son cœur car elle croit que c'est impossible et que ce serait au détriment de Bébichon et d'elle-même.

À la réception de cette lettre, ma fille s'est mise à trembler de tout son corps, comme chaque fois qu'il y a une nouvelle "attaque". C'est une réaction émotico-physiologique qu'elle ne peut maîtriser. Elle s'est cependant raisonnée. En effet, depuis 3 ans, elle s'est rendue à moitié malade, alors que finalement, tout s'est fort bien passé au milieu de ce désastre. Elle a réussi à mettre le holà aux films qu'elle commençait à se faire au sujet de la suite des événements et elle s'est dit : on verra au fur et à mesure. Essayer de vivre le présent sans gamberger inutilement est une bataille qu'elle mène depuis longtemps maintenant. Elle n'y réussit pas toujours, mais elle fait des progrès. Bravo, ma fille !

11/05/2013

Plus de rencontre au MIR

Le centre MIR avait prévenu XY qu'il ne pourrait plus rencontrer Bébichon s'il ne faisait aucune démarche judiciaire pour la fin du mois d'avril. Il leur a affirmé qu'il ferait le nécessaire. Il me l'a confirmé par téléphone, précisant qu'il allait demander une extension de ses droits sur son fils. Or, le centre n'a pas invité ma fille à présenter l'enfant aujourd'hui, comme cela se fait depuis maintenant un an et 8 mois.

On peut en conclure que XY n'a pas fait le nécessaire. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne le fera pas. En attendant, on peut se réjouir de tout ce temps qui passe. Bébichon aura 3 ans ce mois-ci et ma fille a su le protéger jusqu'ici des côtés négatifs de son père dont il n'a connu que le côté rigolo. Ce qui fait mal, c'est qu'il le réclame. C'est le contraire des enfants qu'on emmène de gré ou de force chez un de leurs parents chez qui il ne veulent pas aller. Disons que par comparaison, c'est peut-être la situation la moins mauvaise. C'est ce qu'on espère en tout cas.

Ceci dit, XY s'est enfoncé lui-même. Si jamais il entame une procédure, maintenant qu'il a clairement déclaré au MIR qu'il travaillait, il ne pourra plus prétexter que c'est par manque d'argent qu'il ne paie pas de pension alimentaire. Et attendre l'ultimatum du MIR pour entamer une démarche officielle ne plaide pas non plus en sa faveur ...