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29/04/2013

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"Bonjour mademoiselle."                                  "Vous me plaisez beaucoup"
"Heu, bonjour monsieur, ..."                             "Hi hi hi"

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"HHHHmmm !"
"Oh oui, oh oui !"                                             Résultat

 

28/04/2013

29 ème rencontre

La veille de la rencontre au MIR, je reçois un appel sur mon portable. Je ne connais pas le numéro, qui n'est pas dans mon répertoire. "Bonjour, je suis le papa du petit xy ... enfin, le papa de Bébichon ... heu, le papa du petit xy aussi, en l'occurrence." - "Ah ? Bonjour." - " Ça va ? Vous allez bien ?" - "Ça va."  Je souris intérieurement de la confusion de ses propos et je constate qu'il est en mode "voyez comme je suis poli et convivial". La simplicité de dire "c'est XY", comme il le faisait avant ne lui est pas venue à l'esprit. Peut-être qu'il ne sait plus très bien qui il est ? Il s'explique : "Je téléphone parce que j'ai reçu une lettre du MIR sur laquelle l'heure du rendez-vous n'est pas indiquée. Il y a un petit gribouilli, mais pas d'heure." Comme je ne la connais pas non plus, je lui propose de m'en enquérir auprès de ma fille et de la lui communiquer ensuite. Là, il est en mode "tout va bien, arrangeons-nous entre personnes adultes et responsables".

Comme il le fait à chaque fois, il en profite pour placer quelques remarques. "Je vous félicite de vous occuper si bien de Bébichon. Je vois que c'est un petit bonhomme tout à fait bien et je suis fière de vous, de votre famille". Je suis un peu perplexe car le voilà en mode "brosse à reluire". Méfiance donc ! Il continue : "Ça me fait un peu chier de devoir venir le voir au MIR, mais bon. En plus, ça me coûte un pont !" Et voilà le mode "victime" qui se pointe. "J'ai un nouvel avocat. Il va prendre contact avec l'avocate de votre fille, si elle n'en a pas changé entretemps, pour obtenir des droits plus étendus". Je ne réagis pas. Je sais tout ça.

Puis il entre en mode "je suis un bon papa qui fait tout pour que ça se passe bien" et me demande s'il est possible de fixer le rendez-vous en fin d'après-midi car il a un chantier et que c'est difficile pour lui. D'habitude, il laisse toujours le choix à ma fille, dit-il, mais cette fois il demande une exception. Sauf que ma fille me dira par la suite que c'est lui-même qui a demandé cette heure-là, pour permettre à sa sœur de l'accompagner. De toute façon, comment ferais-je, moi, la veille de la rencontre, après la fermeture du centre, pour faire changer une heure programmée bien à l'avance par le MIR. Bizarre comme propos. Je crois qu'il s'agissait pour lui uniquement de se donner une bonne image.

Je contacte ma fille à qui ça ne plaît pas du tout que XY me téléphone. Elle le ressent comme une intrusion, même si ce n'est pas directement à elle qu'il s'adresse. Elle me demande, la prochaine fois, de ne pas lui en parler et qu'il se débrouille avec le MIR pour avoir les informations dont il a besoin.

Quand j'essaie de contacter XY pour lui donner l'heure, je tombe sur la messagerie de ... sa compagne. Je garde le numéro, ça peut servir un jour. Je donne l'heure sur la boîte vocale. Beaucoup plus tard, en soirée, je reçois un sms, toujours du même numéro : "a tu des nouvelles pour bébichon?" Je lui réponds, très laconiquement, sans préciser que j'ai déjà répondu : "11 h". Il termine (poli le gars, hein ?) :"Merci bonne soiré." (Les fautes d'orthographes sont de lui !)

Le lendemain, il est déjà là quand ma fille arrive, à l'heure convenue. Imprévisible XY. Toujours en retard, sauf ... quand il est trop tôt. Du coup, il s'est posté devant le centre MIR, alors que normalement il doit rentrer vu qu'il n'est pas sensé rencontrer ma fille et que tout est fait pour l'éviter.

Sa sœur, pour laquelle il avait demandé un droit de visite, n'était pas là. Le petit xy en revanche est venu. Il a passé un quart d'heure avec ma fille, fermé comme une huître. "Tu vas bien ?" -  "Oui". "Ça va à l'école ?" - " Oui". "Tu n'as rien à raconter ?" - " Non". Ma fille pense qu'il a été interdit de parole parce que c'est lui qui a évoqué le départ en Espagne et que XY ne comptait probablement pas en parler. Départ qui n'aura sans doute jamais lieu. Ma fille me révèle que chaque année, en été, il décide de s'installer là-bas et qu'il ne le fait pas.

D'habitude, à la fin de la rencontre, le MIR fixe avec ma fille la date de la prochaine rencontre. Mais cette fois, il n'en a pas été question. Ma fille n'a rien demandé. En principe, si XY n'a rien fait du point de vue de la justice, il ne pourra plus voir Bébichon au MIR. Wait and see ...

27/04/2013

Il paraît que je n'étais pas visée

Moi, quand je me rends compte que quelqu'un a mal interprété mes propos, je me dépêche de rectifier, surtout si je vois que la personne l'a mal pris. Claude, non. Il se retient et il attend (voir sa réponse à ma note précédente) Il attend quoi ?

Puis, quand il intervient, ce n'est pas en se montrant désolé, c'est en me traîtant de paranoïaque et en m'accusant et de ne pas bien lire. Il en rajoute en prétendant que tout le monde avait compris, sauf moi. Outre que cette affirmation est complètement gratuite (qu'en sait-il si tout le monde avait compris, une seule personne a répondu), je me sens une fois de plus mise en défaut. Ne serais-je pas un peu stupide de ne pas comprendre une chose aussi évidente ? L'affaire se passe ici.

Je me suis donc trompée. Il ne parlait pas de moi. L'erreur est pourtant compréhensible, puisqu'il ne cite pas de nom et indique seulement "Y'en a qui debale tout sur la table{et je ne veux citer personne},et le resultat n'est pas tres frolichon..." Comme il m'avait déjà reproché de parler de choses trop personnelles, j'ai cru qu'il s'agissait de moi. Il s'agit donc de Chloé ? Claude, corrige-moi tout de suite au lieu d'attendre que la situation s'envenime. 

Finalement, peu importe mon erreur. Au lieu de me défendre moi, j'ai défendu Chloé. Pourquoi n'aurait-elle pas le droit de parler de ce que bon lui semble, elle aussi ? S'il s'agit bien d'elle évidemment. Au fait, as-tu remarqué le nombre de quiproquos qui surgissent lors de tes échanges avec nous ? Tu l'as dit toi-même un jour. Etonnant non ?

Ah oui, à propos de la tartine que tu m'aurais écrite "dans le bon sens", comme tu dis. C'est dommage, au point de vue de l'intention, ça aurait compensé le reste. Ah bon, tu m'aurais donné des idées pour donner du sang nouveau à mon blog ? Et bien tu vois, là encore, je dois être paranoïaque, parce que je ressens ça à nouveau comme une critique. Mon blog a donc besoin de sang nouveau ? Pour plaire à qui ? À toi ? Sache que mon blog n'a aucune prétention, sauf celle d'exprimer ce que j'ai à exprimer, à mon rythme, à ma façon et sur les sujets qui me touchent. Si j'ai besoin de conseils, je les demanderai.

Mais en finale, le plus important, c'est ma remise en question par la démarche que j'explique dans ma note précédente, intitulée "remercier les emmerdeurs" (sous-entendu "ils vous aident à avancer"). J'en confirme la conclusion et je récidive ici même : merci, merci, merci !