26/05/2012
Hou hou, Stef !
Tu as effacé ton blog. Tes dernières notes n'étaient pas roses. Tu n'as pas l'air d'aller bien. Fais-nous un petit signe. Tu sais bien qu'on s'inquiète pour toi !
10:08 | Lien permanent | Commentaires (33)
25/05/2012
Prise de tête entre poulettes
Mes filles se sont pris la tête mercredi soir. L’aînée a fait une proposition d’organisation de vacances destinée surtout à garder Bébichon pendant la période de fermeture de la crèche, tout en proposant en échange des dates pour s’occuper elle-même des enfants de sa sœur. Elle a fait un beau tableau excel qui lui a pris 3 heures. (Heu … des heures de bureau si j’ai bien compris). Elle lui a demandé son avis par téléphone. La cadette n’était pas d’accord. Elle a essayé de s’expliquer. L’aînée n’a pas compris, a posé des questions. La cadette n’arrivait pas à mieux traduire sa pensée. Elle s’est énervée.
L’aînée, au bord des larmes, m’a téléphoné immédiatement, à chaud, pour me résumer très brièvement la situation. Enfin, plutôt pour me signaler qu’il y avait eu des étincelles. La cadette a fait de même, plus tard dans la soirée, de façon moins émotionnelle. Elle m’a d’abord demandé de ne pas jouer les intermédiaires de façon à ne pas transmettre d’infos faussées par une interprétation personnelle. Ensuite, elle est revenue sur cette demande, me laissant libre de faire comme bon me semblait.
Hier soir, l’aînée est venue chercher Bébichon qui est chez moi parce qu’il a la varicelle. Le sujet est arrivé sur le tapis, je ne sais plus comment. Elle a donc détaillé et avoué qu’elle avait beaucoup pleuré. Elle en a parlé longuement et avec émotion. Elle dit ne plus supporter d’être traitée comme une merde. Elle avait eu le sentiment d’être rabrouée comme une gamine. Elle s’était sentie humiliée comme cette petite fille qui, débordante d’enthousiasme, avait apporté des fleurs à l’institutrice. Cette dernière avait pris les marguerites, mais avait jeté les pissenlits à la poubelle avec dégoût. (C’est une anecdote vécue par une camarade de classe de l’une de mes filles).
Si j’ai bien compris, le désaccord portait notamment sur le fait que le planning prévoyait des prises en charge de ma part, parfois des 3 enfants à la fois, ce que je n’ai jamais fait jusqu’ici (et que je ne vois pas d’un œil très zen). Ma fille cadette préfère me solliciter en cas de besoin plutôt que de cette façon systématique. Elle trouve que ce n’est pas à sa sœur d’organiser le planning de tout le monde. Elle préfère s’arranger avec moi sur base des jours où Bébichon a besoin d’être accueilli. L’aînée trouvait que je n’avais qu’à dire mon avis si la proposition de me convenait pas.
L’aînée prétend que le problème ne réside pas dans le fait de ne pas être d’accord, mais dans la façon de le dire. La cadette estime ne pas l’avoir mal traitée, mais admet qu’elle était déjà énervée au préalable, avant cette conversation téléphonique, et que ça s’est probablement ressenti.
Ce n’est pas la première fois que mes filles se volent dans les plumes. Ceci n’est d’ailleurs qu’un accrochage mineur. On a vu pire du temps de XY !
Et bien les poulettes, à vous de vous désengueuler maintenant ! Pas facile les relations !
01:49 Publié dans Ma grande fille/Bébichon, alias Picolo | Lien permanent | Commentaires (14)
17/05/2012
Saison des amours
Inspiration après avoir visité ce blog
Bizarre que ça ne fasse pas le même effet, selon la nature de l'être "en action" ...
Les photos ont été prises hier.
20:47 | Lien permanent | Commentaires (16)