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27/04/2013

Il paraît que je n'étais pas visée

Moi, quand je me rends compte que quelqu'un a mal interprété mes propos, je me dépêche de rectifier, surtout si je vois que la personne l'a mal pris. Claude, non. Il se retient et il attend (voir sa réponse à ma note précédente) Il attend quoi ?

Puis, quand il intervient, ce n'est pas en se montrant désolé, c'est en me traîtant de paranoïaque et en m'accusant et de ne pas bien lire. Il en rajoute en prétendant que tout le monde avait compris, sauf moi. Outre que cette affirmation est complètement gratuite (qu'en sait-il si tout le monde avait compris, une seule personne a répondu), je me sens une fois de plus mise en défaut. Ne serais-je pas un peu stupide de ne pas comprendre une chose aussi évidente ? L'affaire se passe ici.

Je me suis donc trompée. Il ne parlait pas de moi. L'erreur est pourtant compréhensible, puisqu'il ne cite pas de nom et indique seulement "Y'en a qui debale tout sur la table{et je ne veux citer personne},et le resultat n'est pas tres frolichon..." Comme il m'avait déjà reproché de parler de choses trop personnelles, j'ai cru qu'il s'agissait de moi. Il s'agit donc de Chloé ? Claude, corrige-moi tout de suite au lieu d'attendre que la situation s'envenime. 

Finalement, peu importe mon erreur. Au lieu de me défendre moi, j'ai défendu Chloé. Pourquoi n'aurait-elle pas le droit de parler de ce que bon lui semble, elle aussi ? S'il s'agit bien d'elle évidemment. Au fait, as-tu remarqué le nombre de quiproquos qui surgissent lors de tes échanges avec nous ? Tu l'as dit toi-même un jour. Etonnant non ?

Ah oui, à propos de la tartine que tu m'aurais écrite "dans le bon sens", comme tu dis. C'est dommage, au point de vue de l'intention, ça aurait compensé le reste. Ah bon, tu m'aurais donné des idées pour donner du sang nouveau à mon blog ? Et bien tu vois, là encore, je dois être paranoïaque, parce que je ressens ça à nouveau comme une critique. Mon blog a donc besoin de sang nouveau ? Pour plaire à qui ? À toi ? Sache que mon blog n'a aucune prétention, sauf celle d'exprimer ce que j'ai à exprimer, à mon rythme, à ma façon et sur les sujets qui me touchent. Si j'ai besoin de conseils, je les demanderai.

Mais en finale, le plus important, c'est ma remise en question par la démarche que j'explique dans ma note précédente, intitulée "remercier les emmerdeurs" (sous-entendu "ils vous aident à avancer"). J'en confirme la conclusion et je récidive ici même : merci, merci, merci !

 

26/04/2013

Remercier les emmerdeurs ...

... c'est ce que me disait mon cher docteur Ifô. Parfois l'emmerdeur, c'était lui. Je le remercie donc. Il y a longtemps que je ne l'ai plus consulté vu que maintenant, je vais voir la doctoresse Granule. C'est une décision que j'ai prise pour des raisons médicales, mais en même temps, cela me soulage des chapelets de "il faut" que m'égrenait le premier cité, me donnant l'impression que je ne savais rien et qu'il "fallait" être autrement que je n'étais. Fais pas ci fais pas ça. À dada prout prout cadet ... Même s'il le faisait avec respect et sans jugement, je ressortais de chez lui énervée et chargée d'un sentiment de nullité plus grand qu'avant la consultation.

La doctoresse Granule a ses défauts, elle aussi, mais au moins je ne me sens pas accablée quand je quitte son cabinet. Et elle m'écoute, quand c'est nécessaire, alors que le docteur Ifô ne faisait que remplir le rôle de directeur de conscience qu'il s'était arrogé, en tant que disciple de Mikhaël Aïvanhov, auquel il ressemble d'ailleurs étrangement, voire en tant que disciple du Christ.

Tout cela pour en venir à un commentaire que je lisais hier, sur un blog ami, juste avant de me mettre au lit et qui m'a énervée au point d'empêcher longtemps les bras de Morphée de se refermer sur moi. Les réponses que j'aurais pu faire fusaient dans ma tête. J'ai fini par m'endormir et me suis réveillée à une heure normale, sans mal de tête, contrairement aux autres jours. Allez y comprendre quelque chose !

Après avoir exploré les possibilités de réponses plus ou moins acerbes ou sarcastiques que j'aurais pu faire, les appels à la réflexion, ou au contraire opter pour le silence, j'en suis arrivée à faire plutôt mon autocritique. N'est-il pas vrai qu'on ne change pas les autres, qu'on ne peut que travailler sur soi ?

Je me suis donc interrogée au sujet de mon blog et de son intérêt, pour les autres et pour moi-même, et je vois que je ne suis pas la seule. Je m'y suis déjà fait agresser ou courtoisement critiquer pour ma façon d'être (vis-à-vis de ma fille aînée notamment). Parfois c'était tellement énorme que cela m'avait fait rire. D'autre fois, cela m'avait menée à de sérieuses remises en question personnelles. Et c'était très intéressant. Je n'avais en revanche jamais été critiquée pour déballage excessif et propos ennuyeux. C'est le cas actuellement.

J'ai pensé arrêter mon blog. Mais c'était juste une réaction furtive du cerveau reptilien, vite raisonnée. J'ai ensuite envisagé de faire une pause, histoire d'y réfléchir et de voir si cette activité bloguienne me manquerait, si elle m'était utile. Mais la réponse m'est venue tout de suite. Oui, pour le moment, mon blog m'apporte du positif. Finalement m'est venue à l'esprit le pouvoir de la critique. Et je ne parle pas ici de critique constructive en l'occurrence. Il y a plusieurs façons d'y réagir. La fuite, ce qui serait le cas si je fermais mon blog. Je pourrais par ailleurs essayer de rendre mes sujets plus agréables à lire et passer sous silence mes questionnements et intrigues familiales qui ennuyent d'aucun. Mais ce ne serait pas moi. Autre option : parler sexe. J'attirerais certainement du monde ! ;o) Mais mon blog ne sert pas à me rendre agréable aux yeux des lecteurs, même si j'apprécie énormement les mots gentils que je reçois. Je pourrais bloquer l'adresse I.P. des emmerdeurs-critiqueurs. Mais ce serait leur donner un pouvoir qu'ils ne devraient pas avoir. Et puis, je continuerais à lire leurs remarques désagréables sur les blogs amis.

C'est donc à moi d'être plus forte. De continuer mon chemin. Je crois que c'est Paul Gaughin qui disait : "Je ne suis pas perturbé par les autres parce que je fais ce que j'ai en moi". Aujourd'hui, je fais mienne cette citation.

Quant à l'intérêt de mon blog pour les lecteurs et lectrices, c'est à eux de décider. Peut-être que certains me lisent avec un rien de condescendance. D'autres me suivent comme ces mauvaises séries télé dont on se gave parfois - pourquoi, je n'en sais rien - tout en sachant que ça n'apporte rien. Je pense que d'autres encore comprennent ma démarche. Quelque-uns ont même de la sympathie. Je remercie à cette occasion la blogueuse qui m'a contactée en privé pour m'encourager à ne pas me laisser impressionner par le blogueur critique qui l'avait vivement choquée.

Pour ma part, après ce questionnement, je décide de continuer mon chemin. J'invite ceux qui n'apprécient pas mes "déballages" de ne pas continuer à me lire. Qu'ils s'interrogent (ou pas) au sujet de leurs motivations pour le faire. Quoiqu'il en soit, je ne bloque pas les I.P. des emmerdeurs - que je remercie d'ailleurs au passage - mais qu'ils ne s'étonnent pas, il se pourrait que je ne leur réponde plus ...

16/04/2013

J'y peux rien, ça me fascine !

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Semences d'hibiscus

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