29/04/2020
Patricia (2)
Quand Patricia m'a lancé son "pourquoi tu me cherches misère ?" j'ai été tellement choquée que je n'ai plus eu envie de "dialoguer" avec elle, surtout que j'avais l'impression que c'était Pascal, son mari, qui me répondait. C'est pourquoi j'ai répondu : "Je te cherche misère ? Je suis très surprise que Patricia écrive ça, mais je me le tiens pour dit !" Cela signifiait pour moi que je me retirais de la soi-disant discussion. Ensuite, j'ai eu envie de la supprimer comme amie Facebook, mais j'ai préféré attendre d'être plus calme. Un peu plus tard, la pression redescendue, je me suis dit : "Mais enfin, Quantique, qu'est-ce qui t'arrive ? Ton ego a été égratigné et du coup tu mettrais fin à une amitié de ... 15/20 ans pour quelques mots malheureux somme toute pas si graves ? " Et je me suis calmée. J'ai envisagé de recontacter Patricia pour expliquer que mes questions n'étaient pas une attaque guerrière, comme elle le prétendait et que je pensais qu'entre amies, on pouvait se dire ce qui gênait. Mais j'avais l'impression que j'allais me battre contre des moulins à vent. J'ai donc hésité. Et à force d'hésiter, je n'ai rien fait. Plus tard encore, j'ai capté sa photo de couverture facebook, j'y ai inscrit le nom de son mari : "Pascal &" et la lui ai renvoyée. J'ai positionné le nom de son mari de telle façon qu'en la chargeant en tant que photo de couverture, il se retrouverait juste au-dessus de son nom à elle et ça donnerait ceci :
J'ai proposé ça parce qu'un moment donné, elle m'avait dit qu'elle avait essayé de changer son nom pour en faire Patricia et Pascal Machin. J'estimais que c'était un geste d'apaisement et d'amitié. Et j'étais assez fière de ma trouvaille. Elle m'a remerciée gentiment, comme si de rien n'était. Elle allait essayer, mais, étant nulle en manipulations de ce genre, si je ne voyais rien apparaître, c'est qu'elle n'avait pas réussi. Rien n'est apparu ... Peut-être qu'elle n'en avait d'ailleurs pas spécialement envie. Les choses en sont restées là ... pour le moment ...
20:59 Publié dans Anecdotes et réflexions diverses | Lien permanent | Commentaires (18)