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14/07/2015

Vous allez rire !

Le 22 juin, ma fille voulait m'emprunter de l'argent pour partir en vacances.

Après avoir émis un début d'acquiescement (pour avoir mal compris la demande), je le lui refusais.

Le lendemain, mal à l'aise d'être revenue sur ma première décision, j'acceptais de prêter, mais "pour une fois".

Humiliée, elle refusait.

Dimanche, je lui envoyais un sms pour lui souhaiter de bonnes vacances. Pas de réponse.

Lundi, rien.

Mardi, assez ennuyée : "Maman, au secours !" Elle avait payé le séjour. Son amie n'avait pas pu retirer d'argent de son compte. La banque néerlandaise n'acceptait pas sa carte belge. Il leur restait 12 € pour manger pendant 4 jours !

Je la taquine d'abord, prétendant que j'allais y réfléchir quelques jours pour ne plus faire la bêtise de répondre trop vite. Elle rit. Je lui verse en urgence les 250 € demandés. Mon mari secoue la tête : "Et bien, tu les lui auras quand même prêtés finalement !" Effectivement, bien que le montant était inférieur à ce qu'elle me demandait au départ. Mon désir de la voir se débrouiller toute seule financièrement n'a pas été jusqu'à l'obliger à rentrer à la maison après un seul jour de vacances pour "assumer" ...

C'est rigolo, non ? Ben moi ça m'a fait sourire et soupirer à la fois.

Rentrée vendredi, elle me rembourse les 250 € dès le samedi. Affaire classée.